tag:blogger.com,1999:blog-3299959524946750619.post827856279749156719..comments2023-12-03T09:53:01.102-05:00Comments on SOPHIE MORIN: Choc culturel dans les modèles d'intervention Québec-France en agressions exuelleUnknownnoreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-3299959524946750619.post-56039216055277117652009-05-18T22:31:00.000-04:002009-05-18T22:31:00.000-04:00Lol ! J'ai pris exemple sur toi après avoir lu le ...Lol ! J'ai pris exemple sur toi après avoir lu le commentaire que tu as laissé sur le site de Radio-Can après le passage de Mme Ross à l'émission de Christiane Charest. Tu n'y es pas allé de main morte! Mais bon, c'était mérité pour Mme Ross et c'était une très bonne réplique bien argumentée.<br />- Marie-PierAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3299959524946750619.post-40966269058083921022009-05-18T19:38:00.000-04:002009-05-18T19:38:00.000-04:00Ouin Marie-Pier! Ça a été long avant que tu t'expr...Ouin Marie-Pier! Ça a été long avant que tu t'exprime, mais quand tu t'y met, je me fais rentrer dedans? ;-)<br /><br />Je comprends ton point et c'est fort intéressant, surtout lorsqu'on pense aux victimes d'agressions sexuelle. <br /><br />Le congrès réunissait des spécialistes qui travaillent auprès des personnes victimes, mais aussi ceux travaillant et faisant de la recherche auprès des personnes agresseurs. Je ne me souviens plus tellement bien si on parlait de traitement pour parler des victimes ou uniquement pour les agresseurs...<br /><br />Je suis d'accord que l'accompagnement dans ce processus est central.<br /><br />SophieSophie Morinhttps://www.blogger.com/profile/05266809571444310275noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3299959524946750619.post-83698509311230057092009-05-17T22:06:00.000-04:002009-05-17T22:06:00.000-04:00TRAITEMENT:
Action et manière de soigner une malad...TRAITEMENT:<br />Action et manière de soigner une maladie, un malade; ensemble des mesures thérapeutiques.<br /><br />Est-ce que les victimes d'agression sexuel sont malades? Elles ont définitivement besoins d'un ensemble de mesures thérapeutiques, mais pas dans le cadre d'une maladie. Dans cette optique, je ne crois pas que le terme «traitement» soit plus approprié que le mot «soin». Est-ce que «accompagnement» ne serait pas plus juste? Il s'agit, tel que l'article le mentionne, de soutenir la victime dans son processus de reconstruction. Cela découle plus de l'accompagnement que du traitement ou des soins. <br /><br />Dans un cas comme dans l'autre,il restera toujours plus important de s'intéresser au contenu qu'au contenant...<br /> - Marie-PierAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3299959524946750619.post-16839806820486349092009-05-14T16:49:00.000-04:002009-05-14T16:49:00.000-04:00Je comprends votre point de vue et je ne suis pas ...Je comprends votre point de vue et je ne suis pas contre. Ce que je crois par contre, c'est que pour interdire à une femme de quitter l'hôpital, il y a plusieurs options à envisager: Tout d'abord, est-elle blessée et a-t-elle besoin de soins médicaux? Ensuite, quel est le réseau de cette femme? Peut-elle aller se loger dans sa famille, chez un ami où elle se sentira probablement mieux que dans un hôpital froid, aseptisé et où elle sera seule. Il existe tout un réseau de maison d'hébergement pour les femmes victimes de violence (conjugales, sexuelles) où des intervenant(e)s peuvent l'accompagner dans son processus.<br /><br />Finalement, si la femme n'a d'autre choix que de rester à l'hôpital pour des raisons médicales, le médecin est en effet dans l'obligation d'intervenir. Ce que je pense, c'est qu'il ne s'agit pas d'une question d'autorité! Le médecin a la responsabilité de dire à la femme:"Je suis désolée, je ne suis pas en mesure de vous laisser quitter l'hôpital. Votre état m'inquiète et votre sécurité est en danger. Je comprends que vous soyez en colère-peinée-fâchée-frustrée-désemparée (dépendemment de la situation) et je vous propose qu'on en discute demain, lorsque vous vous serez reposée."<br /><br />Il est surtout question d'une façon de faire et la façon Je suis le médecin, j'ai le droit et je sais mieux que vous!" me dérange énormément.<br /><br />Voilà!Sophie Morinhttps://www.blogger.com/profile/05266809571444310275noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3299959524946750619.post-81466867632277266032009-05-14T09:41:00.000-04:002009-05-14T09:41:00.000-04:00Dans le commentaire précédent, dernière phrase, pr...Dans le commentaire précédent, dernière phrase, prière de changer "vision" par "opinion". Vision, ça fait un peu porteur de la bonne nouvelle mégalomane...Jeghttps://www.blogger.com/profile/13476074706889769217noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3299959524946750619.post-31015114662971383292009-05-14T09:39:00.000-04:002009-05-14T09:39:00.000-04:00Et si les 2 approches étaient bonnes? Tout le mon...Et si les 2 approches étaient bonnes? Tout le monde aime avoir raison mais je vois du bon dans les 2 approches. Je pense que, comme n'importe quelle vicitme, les gens ayant subi des agressions sexuelles sont subissent un choc psychologique et que, comme n'importe quelle victime d'agression, le médecin ou le professionnel traitant doit s'assurer que la personne a la capacité de faire des choix éclairés (tout le débat du consentement éclairé). Je considère donc légitime qu'un médecin puisse prendre les mesures pour garder un patient qui lui semble incapcable de prendre soin de lui-même ou elle-même. Par la suite, il faut reconstruire et là, j'adopte la vision Québec de mettre la personne au centre de sa vie et de ses choix. Et ma vision ne s'applique pas seulement aux victimes d'agression sexuelles mais à toutes les personnes ayant subi un choc psychologique ou traumatisme.Jegnoreply@blogger.com